Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Assemblée générale des boulistes

14/02/2010 05:01

Assemblée générale des boulistes


Hier avait lieu l'Assemblée générale du club de boule héninois en présence de Mr zègre, conseiller municipale de la commune d'Hénin Beaumont. Le Président y rappela les difficultés que traversa le club et fit part de sa préoccupation sur l'avenir, notamment concernant certains réglements édictés  par la Fédération Départementale (tenue aux couleurs du club obligatoires...) qui risquent d'allourdir les dépenses du club. Le bilan fut approuvé à l'unanimité mais le Président rappela toutefois que pour son club, 2010 sera une année difficiles puisque n'ayant pas augmenté ses capacités de financement (pas de tarifs suplémentaires sur la cotisation départementales, subventions non augmentée par la municipalité). Mr Zègre, au nom de la municipalité prit la parole et évoqua le petit problème de voisinage avec un autre club que subit le club de boule actuellement. Il promit une résolution rapide de celui-ci. Nous resterons attentifs sur le réglement de ce litige. Aprés celà, un pot de l'amitié offert par le club solda cette assemblée générale.

Le comité DLR



Commentaire de Patrick Piret (14/02/2010 06:12) :

J'ai, au nom du Nouvel Elan pour Hénin Beaumont, proposé depuis quelques semaines au Président de l'Office des Sports Héninois la programmation d'une réunion associant les 3 clubs de la ville. L'objet d'un tel RDV : envisager les conditions d'ue mise en synergie les ressources de ces 3 entités.

http://alterecho.hautetfort.com/




Reportage de France 3 Ile de France

14/02/2010 04:14

Reportage de France 3 Ile de France


http://www.dailymotion.com/video/xc7h05_reportage-de-france-3-ile-de-france_news




Crise grecque : l’Europe dans une impasse

14/02/2010 04:09

Crise grecque : l’Europe dans une impasse


D’un côté, le Figaro annonce que l’Union Européenne a trouvé un accord sur l’aide à la Grèce. De l’autre, le Monde affirme qu’Angela Merkel s’est opposé à un sauvetage rapide. En fait, on constate une grande confusion au sein des instances européennes comme médiatiques...

Non, la Grèce n’est pas en faillite !

J’ai cru m’étrangler en entendant Jean-Michel Apathie avant-hier au Grand Journal. Le chroniqueur de Canal Plus affirmait avec son assurance coutumière que la Grèce était en situation de faillite et que plus aucun investisseur ne souhaitait lui prêter d’argent. S’en suivait son numéro habituel sur les dépenses publiques et la dette. Il est vrai qu’Athènes a dépassé beaucoup de limites en trafiquant ses comptes publics pour camoufler des déficits colossaux, mais le journaliste d’RTL exagère lui-aussi.
Car, comme je l’expliquais mercredi, la Grèce est encore loin d’être en situation de faillite. Bien sûr, sa situation est très préoccupante, avec un déficit de 12% du PIB, une dette de 100% et des taux longs équivalents au double des taux de l’Allemagne. Mais malgré tout, Athènes est encore loin de la faillite, malgré ce que disent de trop nombreux journalistes. La faillite, c’est être dans l’incapacité de payer ses échéances, ce qui n’est pas du tout le cas aujourd’hui.
Il y a moins d’un mois, la Grèce voulait placer  8 milliards d’emprunts d’Etat (sur un besoin annuel estimé à 50). Les investisseurs en ont demandé 25 ! Il faut dire que le taux proposé est beaucoup plus attractif que celui du Bund Allemand ! Malgré tout, Athènes a préféré ne placer que les 8 milliards initialement prévus, ce qui couvre ses besoins de trésorerie jusqu’au début mai, signe d’une certaine confiance pour se refinancer. La Grèce peut emprunter, cher, bien sûr, mais elle peut le faire.
Bref, contrairement au catastrophisme affiché par certains, la situation n’est pas aussi critique que cela. Et même le coût supplémentaire que les marchés imposent à la Grèce est gérable pour quelques mois. Il faudra encore un peu de temps pour que la situation devienne incontrôlable, d’autant plus qu’il restera toujours la possibilité de trouver des financements en dehors des marchés. Mais avec une telle rémunération, les investisseurs pourraient continuer à vouloir prêter à Athènes.

Une Europe qui restera aux abonnés absents

Dans un écho avec la campagne sur le traité de Maastricht, certains réclament une réponse forte de l’Europe. Cela rappelle les arguments de ceux pour qui la monnaie unique était un moyen de contraindre l’Europe à se construire sur un modèle fédéral. Un rappel utile du côté profondément anti-démocratique de cette construction européenne toujours désireuse de concentrer davantage de pouvoirs au détriment des Etats-nations, au-delà même de ce que disent les traités…

Mais cette solution ne viendra pas. En effet, l’euro, loin de provoquer une convergence économique, a plutôt accentué les différences de situations des pays membres. Les déficits publics vont aujourd’hui du simple au quadruple (3% en Allemagne, 12% en Grèce), ce qui rend de facto toute solidarité impossible. En effet, les Allemands ne voudront jamais payer pour les Grecs. Jamais les fourmis européennes ne voudront financer les cigales de l’Union, ce qui est assez facile à comprendre.

Et ce n’est d’ailleurs pas injuste car une telle intervention aurait pour conséquence de pousser les pays à se comporter comme des cigales, sachant qu’il y aurait toujours des fourmis pour les sauver… Cela, jamais l’Allemagne ne pourra l’accepter. Au pire, l’aide accordée sera peut-être faite sous la forme de prêts aux taux d’intérêt punitifs et conditionnés à des plans de rigueur extrêmement contraignants. Bref, l’Europe de demain sera une Europe aussi impitoyable que les marchés.

Jacques Sapir montre qu’il y aurait pourtant une solution : rétablir le contrôle sur les mouvements de capitaux (comme lors de la crise asiatique de 1997) et changer les règles de la BCE pour l’autoriser à acheter les dettes d’Etat. Mais il pense que l’Europe n’ira pas dans cette direction. Du coup, cette crise est annonciatrice d’autres crises, qui finiront sans doute par faire exploser l’euro. Le dogmatisme néolibéral de l’Europe condamne la monnaie unique.

Non, la Grèce est loin d’être en faillite aujourd’hui. Mais oui, il y a un vrai risque à moyen terme. La seule certitude que l’on peut avoir est que cette affaire a démontré les immenses limites du projet européen actuel, une monstruosité économique qui porte en elle les ferments de sa destruction.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Du droit des Nations

12/02/2010 15:27

Du droit des Nations


Par Roland Hureaux
Interrogé par la rédaction de Marianne, Bernard-Henri Lévy tient des propos qui, à y bien réfléchir, sont étonnants.
« Comment se manifeste le pétainisme aujourd’hui ? » dit Marianne. Réponse : « Dans le souverainisme par exemple ».
Et au cas où nous n’aurions pas bien compris, l’illustre publiciste précise : « Qui est souverainiste aujourd’hui ? Je veux dire au sens où je l’entends ? Et par la même occasion pétainiste ? Jean-Pierre Chevènement. Il en a tous les réflexes et l’armature intellectuelle ».
Propos étonnants si l’on considère que le pétainisme fut voué à l’opprobre à l’issue de la seconde guerre mondiale parce qu’il s’était trop facilement accommodé de la perte de la souveraineté nationale. Les pétainistes furent condamnés, pour « intelligence avec l’ennemi » : non point parce qu’ils avaient défendu pied à pied le sol de la patrie mais parce qu’ils ne l’avaient pas fait. Pour défendre sa souveraineté, il faut combattre. Or que dit aux Français le vieux maréchal ? « Il faut cesser le combat ». A moins que le souverainisme qu’il attaque, chez Chevènement et sans doute d’autres, soit autre chose que l’attachement à la souveraineté nationale. On se demande bien alors ce qu’il pourrait être.
Philippe Séguin qui devint une figure nationale en refusant le traité de Maastricht en 1992 ne serait pas, selon lui, souverainiste. Et de Gaulle ?
Il est difficile, à moins de falsifier l’histoire, de dire que le général ne l’était pas. S’il est quelque chose de constant dans sa doctrine, c’est bien l’attachement à la souveraineté nationale. Il ne faisait pas de doute pour lui que les actes controversés des années soixante : refus de l’Europe supranationale, retrait de l’OTA N, dénonciation de l’hégémonie américaine, se situaient dans le rigoureux prolongement de son refus de l’occupation allemande en 1940 – et de l’AMGOT en 1944.
Si donc le souverainisme, c’est le pétainisme, il est dommage que Bernard-Henri Lévy nous prive de sa conclusion : l’acte fondateur du pétainisme, ce fut l’appel du 18 juin 1940. Le pétainiste emblématique, ce fut de Gaulle.
Absurde, dira-t-on ? Evidemment, mais telle est bien la conclusion à laquelle il faut se rendre si on suit sa démarche.
« La servitude, c’est la liberté », « La liberté, c’est l’esclavage » fait dire Orwell au terrible pouvoir qui règne sur son « 1984 ».
Comme cet auteur l’a bien vu, un des premiers caractères des régimes totalitaires est d’adultérer le sens des mots, jusqu’à leur faire dire le contraire de ce qu’ils disent.
Il y a plus. Quand Lévy accuse les souverainistes – et pas seulement eux -, de pétainisme, on aura compris que le mot ne désigne chez lui pas une option politique parmi d’autres, mais un parti chargé d’opprobre. Le discrédit grave qui frappe Vichy ne tient pas seulement à son asservissement à une puissance étrangère mais aussi – même cette dimension n’apparut que plus tard – à sa contribution à la politique d’élimination raciale du régime nazi et donc à sa complicité avec un crime contre l’humanité. Les souverainistes sont des pétainistes et donc, au moins virtuellement, des complices de crimes contre l’humanité.
Nous repérons là chez le philosophe engagé un autre caractère de la démarche totalitaire : la diabolisation de l’adversaire. Lévy dit pétainiste, mais ne nous leurrons pas, il pense quelque chose comme « vipère lubrique ». L’attachement à la souveraineté nationale n’est pas seulement pour lui blâmable, il est déshonorant.
Un troisième caractère de toute idéologie totalitaire, c’est l’internationalisme. On connaît celui de la IIIe Internationale (dite en abrégé Komintern). Ceux qui entre 1940 et 1944 soutenaient la collaboration ne disaient pas ouvertement aux Français « reconnaissons la supériorité allemande » mais « nous n’avons pas d’autre solution que de rejoindre le nouvel ordre européen ». « Nouvel ordre européen » : un des leitmotivs de l’Europe hitlérienne
Faut-il poursuivre ? Bernard-Henri Lévy rappelle avec justesse  que « le totalitarisme est toujours réductible à une volonté de guérir, un médicalisme, une clinique »  mais il ne semble pas se demander si sa volonté d’éradiquer à travers le monde toute trace de « pétainisme » ne relève pas de la même logique . D’autant qu’en assimilant le souverainisme au souci de « la persévérance de la nation dans son être », le philosophe s’est donné un vaste chantier. Persévérer dans son être , n’est-ce pas, selon Spinoza, la loi de la nature ? Réformer la nature, le rêve de tous les idéologues.
Idéologie contre droit des peuples
Le grand ennemi des régimes totalitaires, c’est la liberté. Quand il s’agit d’une collectivité, la souveraineté n’est qu’un autre nom de la liberté. La France souveraine, c’est ni plus ni moins que la France libre. Cette liberté, Lévy la définit indirectement en disant que Chevènement « pensait comme un souverainiste classique que « charbonnier est maître chez soi. » On peut supposer que Bernard-Henri Lévy, qui, on l’aura compris, n’est pas souverainiste, pense, lui, que « charbonnier n’est pas maitre chez lui ». Qui donc est maître chez le charbonnier ? Pour les despotes de tous les temps, la réponse ne fait pas de doute : c’est eux
Il est vrai que les charbonniers dont Lévy récuse explicitement la liberté s’appellent la Serbie et l’Irak, au temps où ils étaient sous la coupe de régimes tenus pour maudits. Etait-il pour autant légitime de les attaquer ? On n’en débattra pas ici. On se rappellera seulement que quand ils le furent l’un et l’autre, c’est, qui en doute aujourd’hui ? sur le fondement de mensonges : l’idée qu’il y avait un commencement de génocide au Kosovo, que l’Irak préparait un programme d’armes de destruction massive (ce dernier mensonge, ce n’est pas nous qui le dénonçons c’est le Parlement britannique – sans doute un autre haut lieu du pétainisme ! ). Le mensonge de masse, autre caractère du totalitarisme.
Le droit des charbonniers, c’est ce qu‘on appelle aussi «  le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », grande conquête de la Révolution française, fondement de l’ordre international. Autre nom de la souveraineté.
Si nous suivions la même méthode des amalgames infamants que le philosophe, nous dirions que sa pensée est totalitaire. On se contentera de dire, de manière plus nuancée, qu’elle a un caractère idéologique, au sens précis que Hannah Arendt, Papaioannou, Besançon et d’autres ont donné à ce mot. Jusqu’à preuve du contraire, en effet, toute idéologie n’est pas totalitaire.
Mais toute idéologie est porteuse de guerre. Le droit des peuples ne se divise pas : pour de Gaulle, s’ il s’appliquait à la France de 1940, il s’appliquait aussi bien à l’Algérie de 1962. Le vrai souverainisme, il vaut pour soi, il vaut aussi pour les autres, comme le reconnaît d’ailleurs Bernard-Henri Lévy avec ses fameux « droits du charbonnier ». Au nom de la souveraineté, on peut et même on doit se défendre, on peut difficilement agresser (sauf les litiges frontaliers d’autrefois, en tout état de cause limités). Pour violer en grand les droits des nations, il faut plus, il faut une idéologie qui transcende celles-ci. Le problème des idéologues, c’est qu’ils ne font pas « la guerre en philosophie », ils font la guerre tout court. Chemise ouverte, comme Gérard Philippe dans Le Cid, toujours prêts à en découdre.
L’idéologie contre le droit des peuples, l’idéologie contre la paix, voilà bien le fond du problème. «  La nation n’est pas source de conflits ; en revanche la négation de la nation est à l’origine de toutes les guerres » (Charles de Gaulle). « Cinquante ans après la fin de la seconde guerre mondiale, il importait de rappeler que ce confit a eu lieu à cause de la violation du droit des nations » (Jean Paul II).





19 livres pour mieux comprendre la crise

12/02/2010 15:13

19 livres pour mieux comprendre la crise


Depuis deux ans, j’ai publié de nombreux résumés de livres traitant de la crise de la globalisation néolibérale. Pour faciliter la recherche de ces notes, voici des liens vers l’ensemble des papiers :
Patrick Artus, « Globalisation, le pire est à venir » : ici
Muhammad Yunus, prix Nobel de la paix, « Vers un nouveau capitalisme » : partie 1 et partie 2
Emmanuel Todd, « Après la démocratie » : partie 1 et partie 2
Maurice Allais, « La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance », partie 1, partie 2 et partie 3
Jean-Luc Gréau, « La trahison des économistes » : ici
Paul Jorion, « L’implosion » : ici
Paul Jorion, « La crise » : ici
Paul Krugman, « L’Amérique que nous voulons » : partie 1 et partie 2
Jean-Luc Gréau, « L’avenir du capitalisme » : partie 1 et partie 2
Jacques Généreux, « La dissociété » : partie 1, partie 2 et partie 3
Jean-Claude Michéa, « L’empire du moindre mal » : ici
Robert Reich, « Supercapitalisme » : partie 1 et partie 2
Joseph Stiglitz, « La Grande désillusion » : partie 1, partie 2 et partie 3               
Frédéric Lordon, « Jusqu’à quand » : partie 1 et partie 2
James Kenneth Galbraith, « La crise économique de 1929 » : partie 1, et partie 2
Christian Saint Etienne, « La fin de l’euro » : partie 1 et partie 2
Frédéric Lordon, « La crise de trop » : partie 1 et partie 2
Jacques Sapir, « Le nouveau 21ème siècle » : partie 1 et partie 2
Paul Krugman, « Pourquoi les crises reviennent toujours » : partie 1 et partie 2
Enfin, quelques synthèses de mon cru (les premières devront être remises à jour car elles commencent un peu à dater) :
« La crise de l’anarchie néolibérale », ainsi que quelques propositions sur le commerce, la monnaie et la finance
Laurent Pinsolle





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